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Liste de produits par fabricant Nikka

Histoire du Fondateur : 


Reconnu comme le « père du whisky japonais », Masataka Taketsuru, le fondateur de Nikka Whisky a défini l’histoire du whisky japonais grâce au soutien et à l’amour de sa femme écossaise Rita.
Masataka Taketsuru, fils d’une famille de producteurs de saké, est recruté par la société Settsu Shuzo, qui a un projet de produire le premier whisky authentique au Japon. Chimiste de formation, le jeune homme part en Écosse, afin d’y découvrir les secrets de fabrication du whisky. Au cours de son séjour en Ecosse, Taketsuru apprend tout sur la production du whisky en travaillant pour diverses distilleries. Autant d’expériences qui viendront nourrir son rêve de créer un authentique whisky dans son pays d’origine.
Taketsuru rencontre Jessie Roberta Cowan, surnommée Rita. Ils tombent très vite amoureux et contre la volonté de leurs familles, se marient à Glasgow dans l’année. Deux ans plus tard, le couple retourne au Japon, mais Settsu Shuzo, l’employeur de Taketsuru, abandonne le projet de whisky pour des raisons économiques.


En 1923, Masataka rejoint le groupe Kotobukya, rebaptisé plus tard Suntory, pour lequel il dirige la construction de la première distillerie japonaise de whisky. Le contrat de Masataka arrivant à terme, Rita l’encourage à réaliser son rêve : construire sa propre distillerie sur l’île d’Hokkaïdo.
C’est sur l’île septentrionale d’Hokkaïdo que Taketsuru trouve le site idéal afin de construire Yoichi, une distillerie bâtie dans le respect des traditions écossaises. Pour sa première distillerie, Masataka Taketsuru recherchait des conditions se rapprochant de celles de l’Ecosse, là où il avait lui-même tout appris.
Yoichi voit le jour en 1934, dans la petite ville éponyme située en bord de mer. Ce lieu extraordinaire bénéficie d’un climat rude et froid, où l’air marin laisse son empreinte sur des whiskies à fort tempérament et où les tourbières étaient à l’origine des notes fumées.


A ce jour, les méthodes de distillation sont restés fidèles aux traditions. A Yoichi, les alambics sont toujours chauffés par un feu de charbon, à une température très forte. C’est une pratique que les Écossais ont depuis abandonnée car difficile à contrôler. Cette technique confère au whisky des subtiles notes fumées et surtout une richesse et une onctuosité qui sont au cœur du style affirmé de Yoichi.


Histoire de NIKKA : 


Alors que les spiritueux vieillissaient en fûts de chêne, une activité est mise en place autour des jus de fruits à base des pommes locales de Hokkaido.
Initialement nommé « Dai Nippon Kaju », signifiant « la grande fabrique de jus japonais », la société adoptera définitivement le nom de Nikka Whisky en 1952, un diminutif de NI-ppon et de KA-ju, même si ce nom apparaît déjà sur les étiquettes du premier whisky lancé en 1940.
Masataka est fortement attristé par la mort de Rita en 1961 et compense sa perte en dédiant toute son énergie au perfectionnement des ses blended whiskies. Le Super Nikka est lancé en son honneur à la fin de la même année.
D’abord installés à Nishinomiya, ces alambics opèrent à Miyagikyo depuis 1999, sur le même site que la distillerie de malt. Si les whiskies de grains produits dans ces anciens alambics à colonnes n’entrent pas dans les embouteillages single malt, ils sont toutefois un composant clé dans les whiskies d’assemblages Nikka.
Suite au succès croissant de Nikka Whisky et afin d’accéder à une palette de styles de whiskies de malts encore plus large pour pousser encore la complexité de ses assemblages, la prochaine étape de Masataka a été de construire une deuxième distillerie de malt au nord de l’île japonaise d’Honshu

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